Le coq de L’Eglise, bicentenaire, porte les marques des outrages de la nature et de l’histoire :
chaque réparateur a laissé sa trace:
ABATTU AU TEN DE LA TERREURE EN 1797
RAQUEMODE ET POZE EN 1811 PHILIPPON LE 6 FEVRIER
ABATTU PAR LA FOUDRE AOUT 1933 REPOSE LE 20 OCTOBRE 1933
GUILLOT PAUL A SAINT SATUR
GEORGES ET ROBERT ESTEVE VINON BUE
REFECTION PAR W GUILLAUMOT 1995
la promenade du coq lors de sa dernière réfection, ici chez le couvreur local Ch RAFFESTIN